dimanche 25 août 2013

trouvé sur le net.... j'aime le jeu de l'oie



les vertus thérapeutiques d'une bonne fessée

je me répète mais qu'est ce que ça fait du bien une bonne fessée.
vous le savez Julien, un copain internet rencontré pour de vrai la semaine dernière après de longs mois d'échanges de mail, a rattrapé son retard en me flanquant quelques bonnes fessées cette semaine (2 aujourd'hui) Elles ont toutes été le résultat d'un jeu. Méritées ou pas, cuisantes ou pas, nous ne nous sommes pas trop pris au sérieux et la semaine n'en a été que plus fun.

A midi nous sommes partis dans une grande discussion autour du déjeuner sur sa terrasse au sujet des vertus thérapeutiques de la déculottée. Je suis très d'accord pour dire qu'une bonne fessée punitive, bien administrée, a de grands pouvoirs guérisseurs.
Que cela ai été avec mon ex ou avec mes fesseurs occasionnels, une fois cul nu, sur les genoux, me faisant sermonner gentimment, et recevant des claques de bonne intensité, j'ai toujours ressenti un grand apaisement après.
Eh oui, messieurs les fesseurs, vous êtes des thérapeutes.
Notre discussion a tourné autour de vastes sujets et j'ai pu confier à Julien des culpabilités que je ressentais pour avoir fait ci ou ça dans mon enfance, mais aussi dans ma vie d'adulte que je porte encore comme un fardeau. J'ai une grande facilité à culpabiliser et Julien m'a grondé à ce sujet en me disant que je ne pouvais pas me rendre malade pour autant de choses.
Il m'a ensuite proposé de me fesser de manière thérapeutique. J'ai d'abord éclaté de rire en lui disant que toute la semaine il ne m'avait pas demandé ma permission pour me claquer le derrière mais il a insisté en me disant que cette fessée là serait différente des autres. J'aurais mal, certes, mais je me sentirais mieux après.
Pas de coin, pas d'instruments, juste mes fesses et sa main.
Nous sommes allés dans la chambre, il s'est assis sur le lit, m'a donné un oreiller pour que je m'allonge comfortablement.
Il a doucement relevé ma robe et baissé ma culotte. Puis il a commencé.

Les claques étaient modérées mais assez espacées entre elles. Il me grondait gentimment en même temps. La fessée à duré 25 minutes, entrecoupée de massages des fesses pour atténuer la douleur. Délicieuse douleur indescriptible, une douleur qui fait du bien, si je puis dire. Au bout de 25 minutes, quand il s'est arrêté, je suis restée allongée sur ses genoux, avec un sentiment de plénitude exacerbé. Moi qui avait eu un petit moral récemment, j'ai récupéré une certaine joie de vivre.
Quand je le suis relevée, je me suis blottie dans ses bras pour le remercier tellement cela m'avait fait du bien, comme un massage en institut.

Je pourrais presque en reprendre une autre tellement c'était bon

semaine chaude

Heureusement qu'il se rentre à Paris bientôt. J'ai pris assez de fessées pour les 6 mois à venir.
Mes fesses cuisent encore de la dernière qu'il vient de me donner il y a une heure. (pour m'être levée tard et ne pas avoir été prête pour allez faire le marché pour le déjeuner)

Il est arrivé sur moi et sans dire un mot m'a allongé sur ses genoux, baissé ma culotte et donné une cuisante claquée tout en m'engueulant que je n'étais qu'une sale gamine irrespectueuse. j'ai pleurniché car aujourd'hui je suis un peu plus sensible que d'habitude je ne sais pas pourquoi, mais il n'a rien écouté à mes supplications et m'a corrigée bien comme il faut.

5 mn au coin, pour la forme et j'ai eu le droit de m'habiller pour aller au marché.

Au menu, de l'espadon à la plancha... bonne journée ;)

mardi 20 août 2013

embuscade

Le petit malin, mon copain Parisien (Julien) m'a proposé, sachant que je ne travaillais pas aujourd'hui de venir passer la journée dans la maison de ses parents qu'ils occupe en vacances pendant leur absence.

Ayant adoré la fessée qu'il m'a donné hier, j'ai dis oui tout de suite profitant d'avoir un fesseur à proximité, on ne sait pas combien de temps cela va durer. En gros, je prends toutes les fessées que je peux avant qu'il ne s'en aille.

J'ai donc passé l'après midi à me prelasser au bord d'une piscine dans une sublime villa.

Enfin prélassé, j'ai passé pas mal de temps au coin ou sur les genoux de Julien bien sur.

Après midi plutot coquine. J'ai provoqué un peu, pris quelques claques méritées.

Mais le petit Julien, il sait y faire pour me punir. Il sait que je ne suis pas patiente au coin, il m'y a donc envoyée une demie heure pendant qu'il se baignait suite à petite insolence.
Je me suis retrouvée le nez contre un arbre à proximité de la piscine.
Comme je gigotais et que je chouinais que je ne voulais pas rester là, j'ai du baisser le bas de mon maillot et y rester 1/4h supplémentaire!

Quand enfin j'ai été autorisée à me reculotter et à venir me baigner, nous avons discuté de choses et je lui ai parlé du départ de feu que j'avais causé petite sans jamais avoir été punie pour cela.
"et tu veux que je le fasse?"

"ben, ça mérite une très grosse fessée une betise pareille"
"mais ne t'inquiètes pas, ça je sais faire, quand nous sortirons de l'eau, tu vas recevoir ce que tu mérites."

Quand nous sommes sortis de l'eau, il m'a dit d'aller chercher une chaise et de la poser au milieu de la terrasse. Je me suis éxecutée en vérifiant bien le vis à vis des voisins (la déculottée publique, ce n'est pas pour tout de suite, voire jamais)

Une fois la chaise posée, il s'est assis dessus m'a attrapé le bras et allongé sur ses genoux. Je sentais son maillot mouillé, rafraichissant avant que mon dernière ne me cuise.

Il a baissé mon bas de maillot (il fesse à cul nu directement) jusqu'en bas, tant et si bien qu'il est tombé par terre et à commencé sa partition.  Il est allé moins vite qu'hier, laissant chaque claque porter ses fruits. Une fessées les fesses mouillées, ça pique bien!

Clac! ouch! Clac! aie! Clac! Clac, je ne compte pas mais les claques sont assez fortes. Il me dit que mes fesses rougissent à vu d'oeil (jte crois)
Puis il a accéléré le tempo. Ouille, je gémis, gigote, ça fait mal!
Il est plus sévère qu'hier et en même temps qu'il me fesse il me sermonne! "tu n'as pas réfléchis que c'était dangereux de jouer avec le feu? et que tu aurais pu mettre le feu à la maison?"

"j'ai pas fait exprèèès, aiiie, je recommencerais plus promis"
"ah ça je te garantie que non"

et j'ai reçu une looongue correction sur ses genoux.

Séjour au coin, sans bas de maillot resté à terre. Il rentre dans la maison et ressort quelques instants plus tard avec un martinet de bazar, vieux, jaune, que je suspecte à peut être servi sur ces propres fesses enfant.

Viens ici et mets tes mains sur la chaise.
Tu vas recevoir dix coups de martinet pour être sur que la leçon est bien comprise.

Et il m'a fouetté! Dix fois avant de me renvoyer au coin.

Tel que je vous raconte ceci, (mon autre punition était de raconter ceci sur le blog, par contre, je ne mettrais pas de photos de moi, que je préfère garder intimes)  cela fait 3 heures que j'ai reçu cette correction magistrale et il vient de m'annoncer que j'en avais gagné une autre (moins sévère mais bon, j'ai déjà les fesses endolories) pour avoir tardé à le faire.

Je vais donc poser l'ordi, et aller me mettre au coin en attendant la dernière déculottée de la soirée avant de rentrer chez moi! je vous raconterais... un autre jour

amour de vacances?

ça fait du bien une bonne fessée!
Je m'explique!

Depuis 1 an à peu près j'échange des mails avec un homme, parisien, mon age avec qui je rigole beaucoup!
Il y a 10 jours de cela, je reçois un mail me disant "eh, je serais en vacances vers chez toi, si tu veux, je prends une chambre d'hôtel dans ta ville et je te fesse!

moi: "mais carrément" (gros besoin d'une déculottée depuis quelques temps, je saute sur l'occaz)

Bref, il est arrivé ce week end et a pris une chambre hier soir.

Nous nous sommes retrouvés sur une terrasse, cocktails, tapas, on a bien rigolé (j'ai une vraie relation d'amitié avec lui même si jusqu'à présent c'était par mail)
 Puis nous sommes allés à l'hotel.

Il est rentré dans le jeu de suite. J'ai du énumérer mes bêtises récentes (dont une valait bien une bonne correction)
"est ce que tu as mérité une fessée?"
moi: "oui monsieur" (à peine audible)

"viens ici"

je me suis allongé sur ses genoux et à mon grand dam, il a alors baissé ma culotte tout de suite après avoir relevé ma petite robe.

"chez moi les fessées c'est cul nu d'entrée" me dit il. (jle sens pas d'un coup)
et il m'a fessée, fessée, fessée... ni trop fort, ni trop doux. j'ai reçu une bonne, très bonne fessée. Je ne sais pas combien de temps elle a duré mais elle m'a prodigué du plaisir et m'a servi de punition en même temps.

Je suis allée au coin, fesses nues, rouges et exposées. Mais il n'avait pas fini. Après 5 mn de coin (il sait que je ne suis pas patiente) il m'a rappelé pour que je me rallonge sur ces genoux. Dans ses mains, une brosse à cheveux en bois (il sait aussi que je déteste cela)

"noooooooooooon, pas la brosse" je prends mes fesses dans mes mains comme si ça allait changer quelque chose.
"combien de coups de brosse tu as mérité pour ton incartade avec le trésor public?" (oui, j'ai fait une grosse boulette avec les impots)

Frondeuse "aucune"

"t'es sure? moi je crois que 50 vont te faire du bien"
"non s'il te plait, redonne moi une fessée mais pas la brosse"
"75"
"noooon, s'il te plait"
"très bien on arrondi à 100"
(là je me dis, arrête la casse!)

je prends mon courage à deux mains et vais me repositionner sur ses genoux.

et 100 coups j'ai reçu, qui m'ont tiré des larmes et m'ont bien piqué.

Quand je me suis relevée, je pensais devoir aller au coin, mais il ne me l'a pas demandé, il a caressé mes fesses pour les apaiser et m'a pris dans ses bras.

On se revoit ce soir ;)

dimanche 18 août 2013

Celle qui ne m'a pas été donnée

Je ne sais pas si on peut dire que le manque de fessée pendant l'enfance est à l'origine de ce besoin que nous avons aujourd'hui mais je peux vous dire qu'il y a une fessée que j'aurais méritée largement et que je n'ai jamais reçu.

Un jour, en jouant avec un ami dans le garage de la maison de ma mère, j'ai voulu faire la maline et jouer avec de l'alcool à 90 et des allumettes. Evidemment, le résultat aurait pu être désastreux si ma mère, passant par là n'avait pas pu éteindre le joli petit départ d'incendie que j'avais crée. C'était vraiment de la bêtise, comme j'en ai fait plein d'autre (fumer des gauloises de mon grand père beurk) et je n'avais aucune intention pyromane bien sur.
Ma mère, comme vous le savez ne fessait pas et en guise de punition m'a mise au coin (à 12 ans) pour1/4 heure.
C'est drôle parce qu'il y a plein d'autres fois où mes fesses auraient du être claquées, mais je me souviens de celle ci particulièrement parce que déjà à ce moment là, pendant que j'étais le nez au coin, j'étais sure que quelqu'un (mon père, grand père, ma tante ou tout autre adulte intelligent) allait me flanquer une correction. Mais elle n'est jamais venue... à mon grand regret...


samedi 17 août 2013

Mauvaise conduite


Lire sur le blog d'Isabelle qu'elle avait ajouté "la cuisson à point..." à sa liste de blog (merci Isabelle) en le décrivant comme un "blog de fille" (ce que c'est totalement par ailleurs ;)  m'a fait penser à une fessée mémorable que j'ai reçu de mon Peter alors que j'étais rentrée, il faut bien le dire, passablement émêchée d'une soirée justement entre filles.

Nous avions décidé de sortir dans une boite branchouille (imaginez New York, fin des années 90, musique pop de l'époque... mais je m'égare)

Bref, les cocktails fusaient, nous dansions et à la fermeture des portes de la boite (1h30 à NYC si si!) la question du retour à la maison s'est posée. C'est moi qui avait la voiture pour nous 3 et en grande écervelée, je n'ai pas du tout levé le pied sur ma consommation d'alcool.

J'ai ramené les filles sans encombres et sans rencontrer de voiture de police sur la route. Non, la police était à la maison.

Je devais sentir l'alcool car quand je me suis vautrée (si c'est le terme) sur le lit, je me suis fait expédier à la douche direct par mon Peter pas ravi de me voir dans cet état là.
Puis, comprennant bien que m'engueuler à ce moment précis ne serait  pas forcémment efficace, il m'a laissé cuver jusqu'au lendemain.

Au réveil par contre....

Dieu merci la formule magique Alka Seltzer avant de me coucher avait fonctionné et je ne me sentais pas trop mal. Enfin, j'allais me sentir mal quelques secondes plus tard quand entrée dans la cuisine, j'ai vu la tête de mon chéri. Point besoin d'explication, j'ai compris de suite.

Silence...
"après le petit déjeuner on a un problème à régler, je vais courir" (oui, c'est ça, va te défouler, ça sera toujours ça en moins comme claques sur mon cul)

Quand il est rentré, j'avais tout bien débarassé dans la cuisine et ayant conscience de la grosse betise que j'avais faite me suis dit que je n'allais pas lutter contre l'inévitable punition que j'allais recevoir.

et je l'ai eu.
Pantalon de pyjama baissé, sur les genoux, une grande classique. Je me souviens que j'étais dans l'acceptation que je devais être punie et même si j'avais mal, j'étais quand même bien. Il me sermonnait de longue et je ne bronchais pas. Je me contentais de recevoir les claques.
Après une séance au coin et une autre claquée à la ceinture cette fois ci, il m'a punie toute la journée. Consignée à la maison alors qu'il faisait beau pendant que lui est sorti faire je ne sais plus quoi avec ses potes.

Elle reste au Panthéon des plus sévères mais des plus salvatrices déculottées que j'ai reçu à ce jour.

jeudi 15 août 2013

frustration...

Je déteste quand tu fais ça.

Je dois lever ma robe, baisser ma culotte et me mettre au coin pendant que tu regardes la télé où lis un magazine. Tu me laisses poireauter là, de looongues minutes (10, 15, 20) exposée à ton regard, honteuse. Tu ne m'as pas encore fessée, alors que j'en trépigne d'impatience. Je déteste quand tu m'envoies au coin avant. Je me sens comme une petite fille.

Au bout de quelques temps, je gigote et pleurniche pour t'agacer et accélérer le mouvement mais tu ne cèdes pas. Plus je fais cela, plus tu me fais attendre.
Pour m'humilier un peu plus, tu viens derrière moi, attrape l'élastique de ma culotte et la fait descendre jusqu'en bas, tu coinces ma robe pour qu'elle reste relevée et tu me fais mettre les mains sur la tête. Une claque sur une fesse mais rien de plus.

Au bout de 20 mn, tu m'appelles enfin... Et tu m'annonces que ma punition est terminée. Pas de fessée aujourd'hui. Je suis déçue mais je sais que tu veux instaurer ton autorité et que tu veux me faire comprendre que c'est toi qui décides quand je reçois une fessée, pas moi.

Il va donc falloir trouver un autre stratagème pour que je puisse finir sur tes genoux.....

ce délicieux moment

C'est mon moment préféré. Je suis allongée, fesses nues, encore chaudes et rouges de la correction que je viens de recevoir.
Elles piquotent, et même si j'ai été punie comme une sale gamine, je savoure ces minutes où mon derrière me rappelle mes errances de comportements. Je ferme les yeux, fesses à l'air et je me détends.

Même si ce n'est pas toujours à cet escient, les fessées me détendent et là, allongée, je suis si bien. Je me surprends à avoir envie de retourner sur ses genoux, pour un deuxième service. C'est tellement bon que je voudrais que cela dure éternellement.

et vous? c'est quoi votre moment préféré quand vous recevez (donnez) une fessée?

Les autres coquines et coquins du web

Je vous annonce que je suis une quiche et que malgré l'aide d'Amandine, je n'arrive pas à mettre d'autres liens de blogs sur ma page. Pourtant vous êtes nombreux à me plaire

Amandine donc, http://leserrancesdamandine.blogspot.fr/

Olivier Strict http://quiaimebien.blogspot.fr

Isabelle http://disciplinedomestique.blogspot.fr/

lkklm http://mis-au-coin.blogspot.fr/

et bien d'autres... dès que j'aurais retrouvé mon cerveau, vous serez affichés...

Fumer nuit à la santé et ... à mes fesses (fiction quoique proche de la réalité)

"ou là là, ça va encore chauffer pour moi! Mais qu'est ce qu'il m'a pris de fumer dans la maison? Il va le sentir c'est sûr...."
Je lui avais promis d'arrêter et lui, en retour, m'avais promis une bonne déculottée si je touchais à une cigarette.
J'ai allumé des bougies, de l'encens, aéré mais c'est que c'est tenace l'odeur du tabac, et puis, je n'en ai pas fumé qu'une...

Quand il est rentré, il a bien évidemment découvert le pot aux roses.
"Tu sais, quand tu allumes plus de bougies qu'à l'accoutumée, je me doute bien que c'est pour couvrir une certaine odeur, ne me prends pas pour un idiot!"

J'ai baissé les yeux, espérant que ma puntion ne serait pas trop sévère.
"tu connais le tarif, je suppose?"
"oui!"
"bien, viens ici"

Il a tiré une chaise,  l'a posée au milieu du salon, s'est assis et m'a dit de m'allonger sur ses genoux.
" tu mérites une bonne fessée tu sais. C'est une très mauvaise habitude de fumer et en plus, moi je dois respirer cet air là. Crois moi, à force d'être fessée, tu vas finir par arrêter!"

Et sur ce, les claques ont commencé à tomber.
Je me suis mise à pleurer alors que je n'étais même pas encore cul nu. Oui je la méritais cette fessée et j'avais honte de l'avoir déçu. Un trop plein d'émotions m'envahit.
Les claques s'enchainent rapidement, sur mon short. Je n'ai pas mal, j'ai honte. Puis, après 5 bonnes minutes de cet échauffement il me dit :

"lève toi!"

Il a déboutonné mon short l'a fait descendre jusqu'aux chevilles puis m'a rallongée sur ces genoux.

"Tu sais, c'est pas comme si j'appréciais de devoir te punir comme ça (menteur!) mais je pense que c'est la seule façon pour te faire arrêter."

Les claques ont repris. Là, je les sens plus déjà, ça chauffe. Il tient un bon rythme mais il n'est pas aussi dur que je le pensais. Je reçois ma punition méritée en pleurant, je ne bronche pas, je ne gesticule pas, je prends juste ma fessée.

Il a ensuite, baissé ma culotte délicatement, et l'a fait rejoindre mon short sur mes chevilles puis m'a caressée les fesses rosies mais pas encore assez rouges à son goût.

Les claques se font plus fortes sur mon cul nu. Je pleure toujours, mais il ne s'arrête pas et me sermonne tout en m'administrant ma correction.
Au total j'ai été fessée pendant 10 minutes, puis envoyée au coin short et culotte entravant ma démarche.

Ma punition terminée il m'a fait un calin et m'a fait promettre de ne pas recommencer  car la prochaine fois, en plus de la fessée, il y aurait le martinet. J'ai juré, sachant pertinnement que je n'arriverais pas à tenir longtemps sans allumer une cigarette...

lettre d'un fesseur

Voici une lettre que Jean, un futur fesseur potentiel ( je ne me suis pas encore décidée... ) m'a envoyé récemment.

Voila bientôt deux mois que nous nous sommes connus Hermione et moi Jean, pour vous 
servir, si votre petit derrière vous démange mesdames.

J’avais il y a peut être six mois environ, au hasard de recherche sur Google sur le thème de 
la fessée, découvert un site d’échange entre fesseurs et receveurs, le plus grand nombre vous 
vous en doutez étant les fesseurs, et le plus souvent des hommes un peu frustrés en manque de 
sensation, pour lesquels, le cul de leur vieille compagne n’était plus, si, il l’avait été un jour, 
sujet d’inspiration.

J’avais oublié tout cela, quand un beau matin, surprise, en ouvrant ma boite mail, je découvre, 
le message suivant :

Bonjour,

Tout d’abord, je tiens à m’excuser, je n’avais pas vu votre message jusqu’à maintenant rien 
que cela mérite une fessée
Je suis aussi souvent sur cette ville, car j’y travaille donc nous pourrons nous rencontrer 
effectivement mais commençons par mail d’abord.

Hermione

C’était une bonne nouvelle et me voila tout excité.
Mais la suite ne fût pas aussi simple, il y eu même une rupture car Hermione trouvait que 
lors de nos premier échange l’aspect sexuel de la fessée semblait prendre une place qu’elle ne 
souhaitait pas lui donner.

C’est ainsi, qu’après une bonne centaine de mails, je réussi enfin à rentrer dans les bonnes 
grâces de ma correspondante. Enfin un climat de confiance s’était installé.

Je trouvais au final très excitant deux personnes qui se rencontrent non pas pour un échange 
sexuel, mais l’une pour être punie et l’autre pour punir et uniquement pour cela, pour jouer en 
quelque sorte. Il est certain que bon nombre des personnes qui nous entourent, se lanceraient 
dans des analyses de types freudiens pour rechercher le sens de nos motivations.

Tant pis pour eux dirait Hermione et là, je la rejoins, je l’imagine déjà disant j’ai dit pas de 
sexe; donc pas de masturbation y compris philosophique.

Hermione ne le sait pas encore, mais j’ai de belle mains, en fait elle vient juste de l’appendre, 
en direct, en même temps que vous cher lecteur que la fessée attire ou intrigue.
Alors nous prenons notre temps, nous nous jaugeons, nous préparons avec délectation, la 
rencontre. J’ai promis à Hermione de faire le scénario de notre première rencontre. Elle doit 
être inoubliable, parfaite et ce scénario, nous le corrigerons ensembles, pour être certain qu’il 
correspond en tout points à nos désirs partagés et pour ainsi nous donner pleine satisfaction.
Je vous communiquerai ce dernier avant l’heure et Hermione vous fera part ensuite du 
résultat, car au bout du compte, l’héroïne, c’est elle.

dimanche 4 août 2013

jalouse et capricieuse (récit fictif)

j'avais été odieuse toute la journée. Par jalousie en plus. Son amie Séverine, qui était venue passer le week end, avait eu toute l'attention de mon chéri avec son attitude de pinup délurée et vulgaire.
Je ne l'ai donc pas épargné le soir, quand gentiment, il m'a proposé que nous allions diner en amoureux au resto.
Boudeuse, j'ai dit que je n'avais pas envie et ai ajouté, "t'as qu'à emmener ta copine Séverine. Ah oui, elle est partie, c'est vrai, je suis ton second choix!" (et paf, contente de moi)

"c'est donc pour ça que tu boudais aujourdhui. parce que je ne me suis pas occupé de toi. Mademoiselle doit être au centre du monde?! Tu sais pourtant bien que Séverine est une amie très chère et que je ne l'avais pas vue depuis longtemps"

"bah si elle est si CHERE que cela, t'as qu'à aller vivre avec!" Je tourne les talons et pars dans la salle de bains en claquant la porte.

Il ne me suit pas. Tant pis. Je vais prendre un bain, sans lui et mz faire ma propre petite soirée.
Après une bonne heure de trempette, j'enfile ma petite robe de coton à fine bretelles que je porte pour dormir car elle est trop courte pour la porter à l'extérieur.

En sortant de la salle de bains , je le vois s'affairant au diner. Comme il est mignon quand il fait des choses pour moi. Ca sent bon. Décidant de ne plus l'embêter je vais pour lui faire un bisou. Il accepte le bisou sur la joue mais m'adresse un regard sévère.

"Je n'aime pas les caprices."
"Ce n'était pas un caprice, je marque mon territoire c'est tout. tu es mon homme à moi, et puis, je n'aime pas Séverine. C'est une écervelée avec des seins refaits. tout ce que je trouve désolant chez une femme"

"tu as dit quoi là à propose de mon amie?"
"que c'était une ecervelée mon chéri."

Très calmement, il a éteint le gaz sous la casserole et s'est approché de moi avec un regard que je connais bien et qui ne vaut rien de bon.

"Cela fait combien de temps que tu n'as pas été recadrée?"
Je baisse les yeux. "ché pas"
"Parle correctement"
"je ne sais pas"
"eh bien trop longtemps à mon gout"
Il me saisit et en un quart de seconde, il a le pied sur la table basse et moi basculée sur sa jambe gauche. Sans attendre, une pluie de claques s'abattent sur mes fesses. La fessée dure très peu de temps, une trentaine de claques tout au plus, mais des claques dures qui font mal.
Je pense quand même m'en tirer à bon compte quand il m'annonce que la suite serait donnée dans la chambre (là où je suis punie d'habitude)

Il s'asseoit sur le lit et me fait signe de me mettre en position. Je rechigne mais son regard parvient à me convaincre qu'il vaut mieux ne pas désobéir.
IL relève ma robe. Comme je sors du bain, je ne porte rien en dessous et mes fesses sont déjà rouges des 30 claques que je viens de recevoir. En plus, une fessée après un bain, ça fait mal.

Il me sermonne et me laisse dans cette position pendant ce qui me parait être un temps interminable. Il sait que je ne suis pas patiente et qu'intérieurement je hurle "mais fesse moi maintenant"
Je sais que cette attente est une punition.

Enfin il commence.

Avec la régularité d'un métronome, il m'administre une bonne claquée. Au bout d'un certain temps, je gigote de douleur et pleurniche comme une gamine. Mais il tient fermement sa position.
Après des milliards de claques (c'est ce que mon derrière a ressenti) je suis envoyée au coin dans la salle à manger, ce qui est très inhabituel. Je me sens encore plus honteuse que d'habitude quand je suis punie de A à Z dans la chambre. Là, j'ai eu le préliminaire dans le salon et je finis en beauté, le cul offert dans la salle à manger, sachant que si quelqu'un sonne à la porte et qu'il ouvre, je serais visible pendant ma pénitence.

Après 15 minutes de piquet, je suis autorisée à m'asseoir à table, cul à même la chaise pour bien continuer à sentir les effets de la correction. J'ai mangé sans piper mot. Lui non plus. J'ai débarassé puis suis aller lui demander pardon.

"je te pardonne mais la prochaine fois que tu te comportes comme cela, je te fesse cul nu devant Séverine, ou mieux encore, dans la rue, c'est compris?"

j'en frémis. Punie devant tout le monde, très peu pour moi.
"oui, mon chéri"
"maintenant file te coucher!" (une claque sur le cul supplémentaire me poussant vers la chambre et me rappelant ce qu'il se passe quand je ne coopère pas)

j'ai obéi. Quelques minutes plus tard, et alors que j'étais allongée sur le lit, robe relevée et sur le ventre, j'ai senti sa main me frotter les fesses pour les apaiser. Il m'a embrassé et je me suis endormie comme une bienheureuse