vendredi 17 janvier 2014

fesséepour étourderie (fiction)


Il y a un peu plus d'un mois, Jimmy et moi avions décidé de passer un week end à la campagne dans l'arrière pays de notre chère région. 
Il avait réservé une roulotte dans un coffret que l'on nous avait offert "séjours insolites" 
J'étais ravie. Tellement ravie, que j'ai oublié de mettre dans notre petite valise une grosse partie des essentiels, laissé derrière à la maison. Je m'en suis souvenue sur la route et l'ai dit à haute voix
"Merde,j'ai oublié nos trousses de toilettes" 
"tu plaisantes? "
"non, chéri, je les ai  préparé mais elles sont restées dans la salle de bain... Ecoutes, ce n'est pas grave. Pour deux jours, nous nous arrêterons dans un supermarché et nous prendrons le nécéssaire"
"là, n'est pas la question" (il est agacé, voire en colère) "je t'avais demandé de t'occuper des affaires pendant que je gérais le séjour, et tu ne l'as pas fait"
"chéri, c'est un oubli involontaire, détends toi"
Il s'arrête sur le bas coté de la route de campagne sur laquelle nous roulons
"tu m'as dit quoi là?"
"détends toi" 
"je n'aime pas ce ton" 
"oui, ben, ça va, tu t'énerves pour rien, on a la solution, c'est pas comme si j'avais oublié tes caleçons alors c'est bon, remets toi"
"sors de la voiture"
UH-OH
"pffffffffffffff"

Je suis sortie, lui aussi. 
"vraiment, tu vas me fesser pour si peu?"
"je vais te fesser pour l'oubli et pour ton attitude, tu commences bien le weekend" 
(non mais je rêve, c'est lui qui m'agresse) 
"lève ta jupe, baisse ta culotte et viens ici" 
J'ai obéi. Une fois devant lui, j'ai senti son bras se serrer contre ma taille, j'étais penchée, cul offert, prête à recevoir ce que je pensais être quelques claques d'agacements pour qu'il se prouve à lui même que c'est lui le  patron. 

PAS DU TOUT

Une rafale de claques s'est abattue sur mon derrière nu, provoquant des cris (et de l'écho) 
La fessée a duré 3/4 minutes. 
Il m'a relevée, ma culotte tombée à mes chevilles et ma jupe toujours sur mes hanches, m'a sermonnée sur mon irresponsabilité tout en m'assainnant une claque sur une fesse, puis sur l'autre.

Dieu merci, aucune voiture n'est passée pas là à ce moment là. 

dimanche 12 janvier 2014

AU coin


"file te mettre au coin"
"mains sur la tête"

Nous avons toutes (et tous)  entendu, maintes et maintes fois cet ordre, et tous nous avons obéi, la démarche entravée par la culotte baissée jusqu'aux genoux, ou pire, aux chevilles, puis nous nous sommes posé(e)s nez au mur, fesses en feu, laissant l'auteur de ce tableau admirer son oeuvre. 

Le coin, est une excellente punition pour moi. Je ne suis pas patiente et la simple idée de devoir rester nez au mur, sans savoir ce qui se trame derrière moi me rend dingue. Alors, je gigote, je le provoque en me retournant pour voir ce qu'il fait... Cela me vaut des menaces, ou des remontrances, et un temps allongé au piquet, cul nu, comme la sale gamine que je suis. Parfois quand je l'agace trop, une ou deux claques viennent s'abattre sur mon fessier déjà endolori, ou, si j'ai la culotte sur les cuisses, il me la descends jusqu'aux chevilles pour me punir un peu plus. 

Parfois, il utilise le coin pour faire un break. Quand il sent que j'ai besoin de reprendre mes esprits avant qu'il ne reprenne la fessée. 


Et vous? Le coin, ça vous inspire quoi? 

Expiation par la fessée (fiction)

Depuis quelques temps, fatigue et stress familial aidant, je n'étais pas très sympa avec lui mais il n'a rien dit, il a subi. 
Maintenant que mon activité est redevenue normale, je suis plus calme et je m'aperçois que mon irrascibilité n'a pas du être simple à gérer. Je le sens blessé et ça me fait mal. 

Alors que depuis quelques jours, je ruminais ma culpabilité je me suis dit qu'il fallait que je répare, alors j'ai été extra attentive à être gentille et à bien me comporter. Et c'est une conversation avec une amie, qui agacée par ma culpabilité m'a dit ironiquement: "t'as qu'à aller te confesser (!!) ça ira mieux après. "

Pas bête comme idée cela dit. A confesse, j'aurais écopé de je ne sais combien "je vous salue Marie" mais si on prenait le terme au pied de la lettre? 

J'en ai a parlé à Jimmy, lui ai demandé pardon et il m'a dit "je ne peux pas t'en vouloir, tu es stressée et tu as une situation familiale très tendue"
Mais je lui ai expliqué que le poids de la culpabilité devenait trop lourd et que je voulais une fessée, une bonne fessée, pour pouvoir me sentir mieux après. 

Et c'est ainsi que je me suis présentée à lui et ai reçu ma fessée expiatoire. Elle m'a fait beaucoup de bien car bien que punitive, elle était surtout réparatrice.

Je suis apaisée maintenant

lundi 6 janvier 2014

Merci JPC!



sobrement intitulée "cuisson à point et champagne au frais" un cadeau de JPC!