dimanche 11 octobre 2015

les bottes

" tu sais ce qu'il te reste à faire" (il a vu le ticket de carte bleue)
le regard est dur, ses yeux plantés dans les miens.
Je baisse le regard. oui, je sais ce qu'il me reste à faire.
Je vais me mettre au coin docilement.

Je vais être punie, sévèrement, pour avoir (encore) dépensé trop d'argent lors d'une virée shopping.
Déjà, la dernière fois, la fessée a été cuisante. 10 minutes de claques incessantes sur mes pauvres fesses nues et 25 coups de martinet bien placés.
Mais visiblement, la leçon n'a pas été retenue. Alors il m'annonce une looooongue déculottée en travers de ses genoux, 50 coups de martinet et une fessée quotidienne pendant une semaine. Il aime ce principe. Je ne suis pas privée de sortie, mais tous les soirs j'ai une (petite) fessée comme punition.

Je suis au coin, gigotant nerveusement, inquiète de ce qui va suivre. Bon les bottes en valaient la peine cela dit.

D'un coup, le son de sa voix claque aussi fort que ses mains sur mes fesses.
"viens ici!!"

Je m'approche de lui, l'air penaud, espérant de l'indulgence, mais sachant pertinemment que je n'en obtiendrais pas.
Il ne me sermonne pas, et me bascule directement sur ses genoux.
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ça tombe tout de suite, précis, ferme, pas si fort mais suffisamment rythmée pour mes fesses chauffent vite.
Il ne dit rien


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ma jupe est déjà relevée, c'est sur ma culotte, bien maigre protection que je reçois ma correction

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la culotte tombe


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j'ai le derrière en feu. Il ne dit toujours rien. Il reigne un silence entre nous (sauf le bruit des claques évidemment) Ce silence est signe que j'accepte ma punition et que lui joue son rôle de mari qui discipline.

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un 1/4h de fessée modérée mais cuisante, il s'arrête et me relève.
"Mets tes mains sur la chaise!!"
 Il me fouette 50 fois avec le martinet. Je prends mais gémit sous les lanières. C'est un martinet de bazar, comme ceux de quand on était petits, pas un martinet érotique. Il est destiné à mes fesses et sait très bien faire sont travail.
Je "danse" un peu sous les coups, demande pardon.
Il ne dit toujours rien.
Il est très fâché.

A la fin de la correction, je reste en position, de peur de recevoir des coups supplémentaires.
Il inspecte son travail, passe sa main sur mes fesses brûlantes. Il est satisfait. Je le sens descendre ma culotte sur mes chevilles avant de m'envoyer au coin, comme ça je marche difficilement et de manière honteuse et "apprécie" bien la sévérité de ma punition.

Je retourne au coin, punie comme une sale gamine.

Une heure de piquet!! Sans avoir le droit de me frotter le postérieur. 

Il revient et se poste derrière moi

" tu recommenceras? " (oui, certainement)
"non Monsieur"
"bien! tu peux remonter ta culotte"

Demain à 20h précise nous commencerons tes fessées quotidiennes! une dernière claque s'abat sur moi avant que je n'ai le temps de remonter ma petite culotte. 
Je me retourne et ....calin. 

dimanche 16 août 2015

coups de soleil et fessée

J'adore l'été, la plage, la rivière, le jardin, la piscine. Toutes les excuses sont bonnes pour me faire larver au soleil et obtenir un joli teint hâlé.
Nous habitons maintenant à la campagne, éloignés de tous voisins avec un terrain immense (nous avons acheté notre maison dans le but d'en faire une maison d'hôtes)
Si je le souhaitais, je pourrais bronzer intégralement, mais bizarrement, cela ne m'a jamais éffleuré l'esprit.
Ce jour là, comme à mon habitude, je me suis allongée au bord de la piscine. Une petite brise rendait la chaleur supportable et je m'en suis même endormie au soleil.
Le problème avec la brise, c'est qu'on ne se rend pas compte que l'on est en train de brûler. De plus, j'allais me rafraichir dans la piscine réguièrement donc je ne me rendais compte de rien.
Plusieurs fois Jimmy m'a prévenue:
-" fais attention, tu vas prendre des coups de soleil"
je l'ignorais totalement

A la fin de la journée, au moment de la douche, c'est le drame. En enlevant mon maillot de bain, je me suis aperçue que j'étais rouge de la tête au pied, exception faite bien sur de mes fesses, demeurées totalement blanches (pas pour longtemps)

Jimmy, qui m'a rejoint dans la salle de bain, en a aussi fait le constat et à commencé à me sermonner.
-"ne te l'avais-je pas dit?"
CLAC. une sur les fesses pour appuyer son propos
-" si, mais je ne pensais pas que j'allais bruler à ce point. j'ai mal"

A ce moment là, j'avais déjà renfilé une petite culotte, il l'a baissé un peu pour se rendre compte de la différence et a éclaté de rire.
- " elle est bien bonne celle là, pour une fois que ce ne sont pas tes fesses qui sont rouges!"

-" tu n'es pas drôle!"
-" moi je trouve que si! mais parlons sérieusement, est ce que tu te rends compte que de telles brulures peuvent provoquer des choses plus graves? comme un cancer? es tu inconsciente?"

J'ai levé les épaules et suis partie dans la chambre.
il m'a suivie.
-" tu t'en fiches de ce que je dis?"
-"oui!"

-"Très bien, je vais faire passer le message autrement, puisqu'il ne manque plus que tes fesses pour faire l'ensemble écarlate, je vais y remédier tout de suite, enlève ta culotte et va au coin, je reviens"

J'obéis en ronchonnant, une autre claque me tombe sur le derrière " en silence! et les mains sur la tête!" (il sait que je déteste ça)

Il est revenu quelques minutes plus tard avec la strap. (instrument qui rougit uniformément mes fesses quand il me l'applique)

-"viens ici"

Alors que je me tiens devant lui, il me gronde, me fait la morale sur l'attention à porter à son corps...
Puis, il s'assied sur le lit et me bascule sur ses genoux..
Il me fesse en cadence, d'abord lentement, puis des claques plus rapprochées qui m'arrachent quelques cris. Ce n'est pas la plus sévère des fessées qu'il m'a donné, mais je la sens passer quand même.
Après quelques minutes de cet échauffement, il m'a fait poser les mains sur le lit pour me donner 10 coups de strap.
Au 10 ème coup, j'avais les fesses aussi en feu que le reste de mon corps. J'ai pleurniché, demandé pardon et ai été envoyée comme d'habitude au coin pour méditer ma bêtise du jour.

30 minutes de piquet. Je déteste ça, mais cela fait partie de la punition. Après cela, tout est fini.
Il m'appelle et me dis:
-"allonge toi sur le lit" sévèrement.
Je pense à ce moment là que la correction n'est pas finie mais les 30 minutes au coin me font douter; il n'attend jamais aussi longtemps entre 2 instruments.

En réalité, il m'a fait allonger pour me passer de la biafine partout sur le corps, sauf sur les fesses évidemment car elles doivent servir d'aide-mémoire.

Au final, j'ai pelé pendant des jours, c'était affreux. Moralité, mettre de la crème et ne pas se surexposer

jeudi 22 janvier 2015

le retour

Bonjour tout le monde.
Je me suis faites désirer, comme dit Jacqueline...
Non pas que je n'ai pas reçu mon lot de punitions dernièrement mais j'avoues avoir eu un peu la flemme de vous les écrire....
D'aucun dirait, ça mérite une fessée!!!
Bon d'accord.

Depuis mon dernier récit, j'ai été punie plusieurs fois, parfois sévèrement, parfois, pour rigoler. Nous avons testé de nouveaux endroits et surtout, j'ai reçu une fessée devant ma sœur!!
Bon pas, énorme, quelquesclaques sous le bras après de la provoc mais la sensation que cela a généré a été super! Elle n'a rien compris.
En fait, je taquinais mon chéri dans la cuisine chez ma mère et il m'a dit: "tu mériterais quelques fessées toi"
J'ai rougi et ma sœur "ça, on est d'accord!"
En deux secondes, j'étais sous son bras et ai reçu 6 claques sur le jean... autant dire rien. Mais la honte que j'ai pris. Ma sœur s'est tordue en deux, loin d'imaginer que la plupart du temps, c'est cul nu et bien plus douloureux que ça...

Nous avons emménagé dans notre nouvelle maison, récemment achetée à la campagne. A la base c'est pour élever des enfants sereins, pas pour être tranquilles lors de mes corrections, mais bon, autant joindre l'utile à l'agréable.


Dans la grange que nous allons réaménager en maison d'amis, j'ai déjà reçu quelques coups de cravaches et de martinets...

Sinon, nous restons dans le grand classique. Une bêtise = 1 fessée.
La dernière? dimanche! Heures des comptes!
J'adore quand il m'envoie au coin avant de m'administrer ma sanction. Je médite, tout en l'entendant aller chercher le matériel. Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée.
Vais je être déculottée? (certainement, mais j'ai toujours une once d'espoir lol)
Sur ses genoux? penchée sur le dossier du canapé? Brosse? martinet? ceinture? longue fessée qui chauffe et qui va m'amener à réfléchir? la fessée rapide ou la culotte arrive sur mes chevilles très rapidement et les claques sont fortes? Est il en colère?

Dimanche, j'ai reçu une longue, très longue fessée sur ses genoux, une classique. D'abord sur mon pantalon de yoga, puis sur la culotte puis fesses dénudées. Tout en me sermonnant. Toute la semaine j'avais été ronchon, 3 absents malades dans mon équipe, plus deux qui n'en rament pas une et qui sont infernaux à manager. Donc, le pauvre devait subir ma mauvaise humeur.

Alors j'ai eu ce que je méritais et ce dont j'avais besoin pour changer d'attitude. Je les aime ces fessées là car elles sont teintées de bienveillance. J'ai mal, car elles sont longues et comme il me sermonne, je suis dans l'émotion. Je pleure, je demande pardon, je m'abandonne complètement à lui.

Il ne m'a pas renvoyée au coin après mais dans ma chambre, pour que je puisse assimiler ce qu'il venait de se passer, puis, une fois m'avoir laissé méditer en pleurnichant sur mon lit pendant une demi heure, il est venu me faire un calin.


voilà les enfants, vous savez tout! 
Je travaille beaucoup en ce moment, allor ne m'en voulez pas de ne pas être très prolyxe!